« Troisième jour de compétition, troisième réveil sous un ciel plombé, et pas par la chaleur du soleil. Il doit bien y avoir un soleil, là-haut, au-dessus des nuages et de la pluie, non? Décidément les organisateurs français de Coupes du Monde ne sont pas vernis avec la météo. Déjà il y a 2 ans à Talloires les cieux s’étaient acharnés sur nos têtes. Mais l’année dernière Val Louron s’en était bien sorti. Le centre du monde du parapente ferait-il l’objet d’un glissement de terrain? Mais ce n’est pas nouveau. De bons pilotes viennent de toutes les régions de France, de bons sites existent partout en France, mais nul n’a l’apanage d’une météo clémente et certaine. En situation de compétition malgré tout nous devons rester prêts, chaque soir, chaque matin. Nous devons garder notre motivation pour aller concourir dans des conditions ni très intéressantes ni très sportives. Et personne ne nous y force. Il faut juste garder l’envie! Bon ben vivement demain alors! » Maxime Bellemin
Shopping, faute de bonne météo !